2 – Jacques-Louis, blessures et noblesse sûre,
« Le portrait de Jacques-Louis, trônant au mur, derrière le bureau de mon grand père maternel représentait pour l’enfant que je fus, un objet aussi mystérieux qu’intriguant. Mais qui était-ce donc ce type à la gueule impossible, au sombrero bizarre et au drôle de fusil entre les mains ? …. »
un article de Jean-François T, publié dans le bulletin n°60 de 2004, dont vous retrouverez l’intégralité dans les 4 pages suivantes :
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